Se la jouer Cobalt Project*, c’est crever l’écran, c’est sortir de la réalité virtuelle et crapahuter de plain-pied sur 30 000 mètres carrés de terrain, arme à la main, radio dans le casque et mini-ordi-nateur «crossmob» fixé sur sa combinaison afin d’être relié aux autres membres de l’équipe et aux coaches de la partie. Se la jouer Cobalt Project, c’est sortir du confort de son canapé pour suer en se glissant dans des scé-narios et des technologies à la Call of Duty. Bref, se la jouer Co-balt Project, c’est troquer le vieux monde du paint-ball pour explorer un univers 4.0 de «jeu augmenté».